Un Oeuf? C'est pour une Omelette?

[Arrive de La Salle Commune ]

Dess poussa la porte et entra dans sa nouvelle chambre. Déjà bien mieu entretenu que celle qu'il possédait dans le petit appartement minable de Kobe, il posa sesa ffaires sur le lit qui semblait vide. D'ailleurs la présence d'un autre occupant ne faisait aucun doute. Il laissait son regard e ballader sur la pière tout en posant son sac. Il possédait de son côté de la hcmabre un petit bureau avec une bougie, une armoire pour ranger ses affaires ainsi que des oreillers et des couvertures. Il éteignit rapidement la bougie, ne supportant même pas la vue de sa petite flamèche. Se retournant, il regarda le reste de la chambre appartenant à son collocataire. Il eu tout de suite l'idée de fouinné un peu. en ennfet, il ne possédait absolument rien de valeur, et donc, n'avait aucune crainte d'être volé de quoique se soit. Mais il préféra rester discret et ne toucha à rien. Il semblait être avec un garçon, à en juger par ses affaires. *Heureusement... Je n'aurais pas supporter d'être avec une de ses pimbèches que j'ai croisé tout à l'heure...* Il repensa à la jeune fille qui lui avait dit bonjour. Belle, et froide. Déjà plus son style. Il avait quelques aventures bien courte avec les filles de son quartier mais c'était vite lassé de bataillé avec d'autre gars pour savoir qui aurait qui, il avait un peu d'honneur tout de même.
Dess ouvrit la fenêtre de la chambre, donnant sur le parc. Il pleuvait toujours dehors. Il ne repéra pas la jeune fille en débardeur, peut être avait elle renoncé à se mouiller. Il resta ainsi quelques minutes avant d'aller s'allonger sur son lit. Cela faisait bien longtemps qu'il n'en avait pas vu de si moelleux. La dernière fois, c'était dans un grand magasin où les lits étaient en exposition.
Ce fût lorsqu'il s'allongea qu'il le découvrit. Une boss dans son dos le fit se redresser et il chercha avec sa main dans le dos ce qu'il avait sentit. Sa main tomba sur quelque chose de dur, une sorte de pierre. Il la ramenna devant lui et rectifia sa pensée. Il s'agissait d'un oeuf. Mais pour quoi faire? Pour le manger? Il était de toute façon bien trop dur pour être mangé se dit il en essayant de forcer dessus. Il essaya de le briser d'un coup de dent, l'oeuf était un peu plus gros que celui d'une poule, mais ni parvint pas. Ce truc était vraiment solide. Il se mit à le lancer en l'air pour jongler puis décida de le balancer par la fenêtre, voir si il résistait à une chute. Mais lorsqu'il était sur le point de le lancer, ce dernier bougea. Il le lacha de surprise et le ratrappa d'un coup de pied.
*Ce truc est vivant... Je me demande ce qu'il peut y avoir là dedans...*
Son regard tomba alors sur une lettre, un peu froissé, posé sur son lit. Il ne l'avait pas vu en s'allongeant dessus. Il l'attrapa rapidement en suposant qu'elle avait quelque chose à voir avec l'oeuf. Ce qui s'avéra être vrai.

Citation :

Monsieur Sourhana,
Voici pour vous un oeuf de Dragon, emblème de cette école. En effet, ici, vous aprrendrez à élever votre Dragon et à le nourir. Les Dragons sont des êtres majestueux et votre envie de voler parmi les nuages n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Vous êtes ici parce que nous avons jugeons bon de vous permettre d'élever un Dragon et d'ainsi assurer la pérénité de cette espèce.
Votre Dragon viens du Japon. Etant vous même Japonais, je pense que vous verrez vite de quoi il s'agit.
Occupez vous soigneusement de votre Dragon monsieur Sourhana. Vous pouvez l'apeller comme bon vous semble, et l'élever sellon vos valeurs, comme vous le désirez. Le tout est qu'il survive.

Bonne Continuation et Bienvenue à Dragon School !

Dess déchira la lettre et la jeta dans sa poubelle. Un Dragon ?! Et puis quoi encore, un Tengu tant qu'on y est? Ou un démon Kappa pourquoi pas? Surtout qu'il n'existait pas tellement de Dragon au japon, enfin dans la mythologie... Il allait surement posséder un de ses fameux Dragon-Esprit légendaire...
*Non mais c'est n'importe quoi...*
Cependant, et malgré l'absurdité de la chose, il mit le petit oeuf dans sa poche et rangea rapidement ses affaires dans son armoire. Il fallait qu'il prenne l'air, et la pluie en l'occurence. Mais il n'avait aucune envie de repasser par tout ces couloirs sombre. Il s'avança vers le mur, ferma les yeux et tendit sa main. Ses vétements prirent une teinte grise, puis sa peau et enfin, il fusionna entiérement avec le mur, devenait mur lui même et se déplçant à travers lui.
Il rouvrit les yeux au niveau du sol, dans le parc, sous sa fenêtre.

[Suite Parc ]